Dans le trou!

Syd fut escorter par plusieurs gardes armer, le psy et l’infirmier.. Il les regardait étrangement il les narguait complètement un large sourire sur le visage.

Ça été très long….vous êtes pas rapide


Ferme là vermine dit un des garde avant de le cogner au ventre


ils s’arrêtèrent devant une grosse porte sans fenêtre le psy essayais toujours de comprendre se qu’il lui avait pris mais cela ne servais à rien, les seules réponses sensé qu’il recevait était pour augmenter la durer de la punition. Un des garde perdit patience.

Petit con ça te sers à quoi de faire cela. …

Syd se donna une claque sur la cuisse en entendant l’homme ronchonner.

Vous pourrez pas me casser. Affronte tes démons et ils se métrerons de ton côté. Tu n’ais jamais seul même au plus profond.

L’homme ne compris rien de se qu’il racontait mais c’était pas nouveau. Un autre garde ouvrit la lourde porte en acier inondable, c’était une petite pièce, sa ressemblait à une boîte de carton mais en ciment qui sentait l’urine à plein nez. Ils lui enfilèrent une camisole de force. Une jolie demoiselle, comme il les aimais, blonde- châtain arriva avec un verre avec plusieurs cachet à l’intérieur. Syd tenta de s’approcher d’elle mais un garde le rattrapa par le collet, l’homme le força à se mettre à genoux. L’infirmier pris le verre des mains de la femme pendant qu’elle sortait deux seringues de son tablier en voyant cela Syd devint agiter.

PAS de piqûre !! NONNN !!!!Il se débattait en vint. Le Psy immobilisa le visage de Syd, un gardien lui ouvrit la bouche de force, il se fit mordre à une reprise, l’homme frappa violemment Syd dans les côtes. Ils lui mirent les pilules dans le fond de la bouche et ils lui donnèrent de grand coup dans le dos pour le forcer à avaler. La jeune femme fit les injection puis repartit avec l’infirmier et le psy. Les gardes se donnèrent à sœur joie sur le détenu à présent complètement droguer avant de le lancer dans le trou… En refermant la porte le garde lui dit qu’il serait possible qu’ils l’oublient ici ils ont tellement d’autre chose à faire que de toujours surveiller un malade mental.