Où suis-je ...

J'avais les yeux fermés. Je ne voulais pas les ouvrir, je ne trouvais pas cela utile vu que le fourgon dans lequel j'étais ne possèdait aucune fenêtre. J'entendais le vombrissement du moteur, grâce à celui-ci j'arrivai à déterminer lorsque j'arriva à destination. Les portes arrières s'ouvrirent violemment, je n'avais pas envie de sortir, j'étais fatiguée. J'ouvris un oeil sans me redresser. J'apperçus un homme en tenue de policier, très bien armé, venir vers moi, apparament je n'aurais pas vraiment le choix. Il me prit le bras avec beaucoup de force pour me faire sortir, il me fait mal !

Je ne dis rien pourtant, même si le regard noir que je lui lançai lui fit mettre la main sur son pistolet à sa ceinture. Qu'est-ce qu'il volait que je lui fasse ? J'étais menotté de la tête au pied ... J'étais si dangereuse que ça ?

L'homme me tenait toujours le bras et me tira jusqu'à une grande porte imposante. Voici donc la prison Kasuna qui m'acceuillera pour un bon bout de temps. J'avais un peu de mal à marcher et ce policier qui continuait toujours de me tirer à travers tous ces couloirs. Il me fit entrer dans une salle particulièrement claire, elle paraissait irréelle par rapport à tous ces couloirs gris. Je m'avançai mais fus rapidement assise sur une chaise. Une femme arriva ....

La femme prend place en face de toi. Le police lui donne un dossier vierge et un numéro et accroche dessus c'était le 831 778 sens doute le matricule la femme n'a pas envie de rire et tu es secondais par la police arme a la main, ainsi que s’eus venu avec toi au même braque le canon de leur arme respective dans ta direction ils sont au taqué et n'hésiterons pas a t’abattre mais se serrai dommage tu n'as que 20 ans. Vue t'es yeux clos ils se méfit de t'as réaction qui peut être soudaine. Ils n'hésiteront pas à t'abattre en cas de rébellions. Ils sont au taqués et tu vas être surveillais de prés. La femme braille soudain pour que tu comprenne du 1er cou et quelle n'est pas a répété

"Nom, prénom, age, délit ? "

Elle parlait d'une voit roque pour te montrée qu'elle n'avait nullement l'intention de plaisanté avec toi elle voulait faire vite et que tu sois jeter en cellule, Et sen doute pour passer au suivent. Le stylo a la main elle attend ta réponse

Olala ... quelle surveillance. Je ne bougeai pas du tout, regardant les policiers ainsi que la femme qui prenait place en face de moi. On lui amena un dossier, sûrement le mien. Elle ne semblait pas vouloir rigoler, être ici tous les jours, ça ne devait pas être facile pourtant c'est ce que j'allais faire, durant tout le reste de ma vie ... je fermai les yeux.

C'est de ta faute si nous sommes ici ! m'écrai-je intérieurement, que de ta faute ...

La femme brailla soudainement une phrase, elle ne voulait pas répéter apparament.

- Nom, prénom, âge, délit ?

Pourquoi elle me demande ça ? Elle ne la pas vu sur ce dossier !!

- Je ne pense pas avoir avoir besoin de dire la moindre chose ! Vous savez lire ?!

Seulement le dossier était vide . Elle n'apprésier pas du tout sa facon de parler mais la police pour évité la grabuge vien lui dire ce qu'elle souhaite et lui donne un rapor d'enquete

"Bien "

.Une foie les informations inscrite La jeune détenu passa le même teste que les autres détenue avant lui qui son passer dans cette pièce. D'abord on prit des photos de toi avec un écriteau avec son nom, son prénom et son matricule. Une photo du profile droit, du profile gauche et de face ... Puis on te prend les empreintes de t'on pouce et du majeur aussi que t'on ADN. On te demande d’ouvrir la bouche pour te mettre une sorte de contons tige dans la bouche que l'on frotte sur t'es joues et que l'on étale sur une petit paque de plexi glace refermé soigneusement et envoyer au labo .Un peux comme un frottis pour les femmes. Ensuite elle te donne une chaîne ras de cous avec t'on numéro de matricule.elle est énorme elle ressemble a un collier étrangleur pour une chien mais en plus avec une plaque avec gravé ton matricule

"Cellule E"

Elle n'avait pas l'air très bien la madame quand je lui ai répondu ... enfin, quand elle lui a répondu, par moment elle croit trop que je suis elle ...

Tu as intérêt à me laisser tranquille, de toute façon, ici tu ne peux plus rien faire !

Je passai plusieurs tests : prise de photos, empreintes et ADN. On me passa même un étrange collier autour du cou, il y a un petit numéro écrit dessus. Numéro de matricule sûrement. La femme dit quelque chose à propos d'une cellule et l'on me traîna une fois de plus à travers ces couloirs ideux.