Un Enfer en cache toujours un autre...

Quand l'hélicoptère toucha le sol, un policier se tourna vers Mitsuko et lui fit un bref signe de tête. Celle-ci, le front contre la vitre glacée, ne bougea pas tout de suite. Les yeux fixés sur ses habits ensanglantés, elle semblait plongée dans ses pensées. Puis, elle dirigea son regard sombre vers le policier avant de le suivre. Les menottes d'acier qui entravaient ses poignets commencaient à laisser des marques rouges sur sa peau pâle mais elle n'y prêta pas attention. Sans regarder devant elle, elle se laissait guider par le policier qui traversait le toit à grandes enjambées...

Quelques enjambées après, un long couloir apparut dans le champs de vision de Mitsuko mais elle n'y prêta pas attention... de toute façon, elle le connaitrait bientôt par coeur... on la poussa à l'intérieur d'une salle. Lumineuse, la jeune fille dût cligner plusieurs fois les yeux pour s'habitué à la luminosité soudaine. une femme l'invita à s'asseoir.

La femme prend place en face de toi. Le police lui donne un dossier vierge et un numéro et accroche dessus c'était le 918613 sens doute le matricule la femme n'a pas envie de rire et tu es secondais par la police arme a la main, ainsi que s’eus venu avec toi au même braque le canon de leur arme respective dans ta direction ils sont au taqué et n'hésiterons pas a t’abattre mais se serrai dommage tu n'as que 19 ans. Vue t'es vêtements ensanglanter ils se méfit de t'as réaction qui peut être soudaine. Ils n'hésiteront pas à t'abattre en cas de rébellions. Ils sont au taqués et tu vas être surveillais de prés. La femme braille soudain pour que tu comprenne du 1er cou et quelle n'est pas a répété

"Nom, prénom, age, délit ? "

Elle parlait d'une voit roque pour te montrée qu'elle n'avait nullement l'intention de plaisanté avec toi elle voulait faire vite et que tu sois jeter en cellule, Et sen doute pour passer au suivent. Le stylo a la main elle attend ta réponse

Une femme s'assit en face d'elle. Le policier qu'il l'avait poussé s'avanca et lui tendit un dossier avec un numéro de matricule... sans doute le sien... Mitsuko regarda autour d'elle, des policiers se tenaient derrière elle, chacun une arme à la main. Elle haussa un sourcil dans leur direction et reporta son attention sur la femme. De sa voix rauque, elle lui ordonna de lui donner son nom, son prénom, son âge et son crime. Son crime... c'est une blague ? Il suffisait juste d'ouvrir le dossier.

- Soma Mitsuko, 19 ans, parricide.

Son ton neutre était déconcertant, on aurait cru qu'elle parlait des nouvelles du jour. Ses poignets lui faisaient de plus en plus mal. Elle voulu faire quelque chose pour se soulager mais les policiers risqueraient de croire a une tentative d'évasion...

Une mèche tomba sur son visage fin, elle frissonait... la pluie avait trempé son tee-shirt blanc, le rendant presque transparant... mauvaise tenue pour une première impression... nouvel haussement d'épaule... De ses mains menottées, elle dégagea la mèche qui venait de tomber sur son visage et attendit la suite de l'entretien... Vivement que se soit terminé.

Tu finie par lui parler . mais elle ne te repond pas de suite.Une foie les informations inscrite La jeune détenu passa le même teste que les autres détenue avant lui qui son passer dans cette pièce. D'abord on prit des photos de toi avec un écriteau avec son nom, son prénom et son matricule. Une photo du profile droit, du profile gauche et de face ... Puis on te prend les empreintes de t'on pouce et du majeur aussi que t'on ADN. On te demande d’ouvrir la bouche pour te mettre une sorte de contons tige dans la bouche que l'on frotte sur t'es joues et que l'on étale sur une petit paque de plexi glace refermé soigneusement et envoyer au labo .Un peux comme un frottis pour les femmes. Ensuite elle te donne une chaîne ras de cous avec t'on numéro de matricule.elle est énorme elle ressemble a un collier étrangleur pour une chien mais en plus avec une plaque avec gravé ton matricule

"Cellule E"

Bientot, Mitsuko passa plusieurs tests. On lui prit des photos de face et de profils, ses empreintes digitales et un échantillons de salive. Deux des quatres policiers qui l'entouraient s'approchèrent d'elle et lui mirent un collier avec son numéro de matricule.
Elle y jeta un coup d'oeil et hocha la tête : il était assez sympa pour un collier de détenu.

Elle afficha un beau sourire sur son visage d'ange et se tourna vers la femme. Le sang coagulé sur son visage et son joli sourire dut faire peur à la femme puisque les quatres policiers la poussèrent sans ménagement hors de la salle pour la mener à sa cellule.